PRELUDES D'UNE ENFANCE
L'histoire d'un jeune citadin, laissé pour compte et ayant mené une vie dure pour suvivre et se subvenir à ses besoins soi-même.
lundi 11 août 2014
mercredi 14 mai 2014
mercredi 17 avril 2013
La menace quotidienne
Depuis quelques temps la ville de Nouakchott connaît un soubresaut dû essentiellement à des actions de mauvaises augures que certains malfrats mènent contre de paisibles filles ou femmes allant jusqu'à leur enlever la vie par des actes de barbaries que notre sainte religion interdits.
Cette situation appelle de nous tous, pouvoir, intellectuels, érudits et toute personne éprise de paix à conjuguer nos efforts pour dénoncer cette insécurité totale, qui se manifeste de jour comme de nuit à chaque instant qu'une fille, ou qu'une femme sorte de chez elle pour aller vaquer à ses occupations quotidiennes, elles sont l'objet de rapt et/ou de viols par des gants.
Notre ville était il y a quelques temps une cité paisible où les habitants pouvaient vaquaient au quotidien sans jamais être inquiéter dans leur solitude et chacun pouvait dormir à même le sol, sans qu'aucune mouche ne dérange son sommeil.
Aujourd'hui ce n'est plus le cas, personne n'est plus en sécurité, malgré la présence des hommes chargés de ma sécurité des populations, les filles qui en générale se déplacent pour aller dans les établissements, ou qui travaillent, ou qui cherchent de l'emploi entre autres ne se sentent en mesure de pouvoir se déplacer sans des conditions sécuritaires.
Voilà un constat que nous voulons que les Autorités prennent en considération pour mettre un terme à cette situation sécuritaire et amener les mauritaniennes à se sentir plus en sécurité qu'actuellement.
Il faut que cette situation soit étudiée et prise en compte au plus haut niveau.
jeudi 23 août 2012
ÉVÉNEMENTS DE MAI 1968 A ZOUERATE, Mauritanie.
ÉVÉNEMENTS DE MAI 1968 A ZOUERATE, Mauritanie.
En retraçant aujourd'hui la rétrospective de événements qui ont ébranlé les Mines de Zouérate, c'est un but de permettre aux mauritaniens et surtout à la génération d'après les années 68 de revivre ces moments douloureux que tout un peuple semblait oublié, bafoué et même ignoré complément. Et pourtant des ouvriers sont morts pour une cause noble et juste en défendant leur juste cause.
Ce drame que j'appelle "national" que certains intellectuels avaient laissé passé sous silence, durant les trois dernières décennies et qu'une sensibilité politique d'alors connue sous la bannière du PKM avait naturellement dénoncé sans jamais mettre en cause les valeurs intrinsèques des ouvriers et des travailleurs de la société Miferma.
Ce chapitre, c'était la consécration du premier mouvement contestataire des ouvriers des Mines de Zouérate que la société des Mines de Fer de Mauritanie (MIFERMA) exploitée depuis son installation en 1953. C'était aussi un mouvement qui disait long sur son cheminement, c'est enfin une image d'un passé historique où des ouvriers ont certes perdu leurs vies pour une cause qu'ils jugeaient juste et noble., c'est en tout cas leur principal objectif.
Ces ouvriers et manœuvres défendaient leurs intérêts face à une société étrangère, qui exploitait le bien de toute une nation, de tout un peuple et qui bafouait celui de ses travailleurs avec la complicité avouée de quelques syndicalistes chevronnés, désireux de servir leurs intérêts égoïstes au détriment de celui des ouvriers et des travailleurs de la Miferma.
Beaucoup de monde comprenait la portée des revendications des travailleurs des mines et surtout la portée de cette action qui ébranlait et pour la première fois les Mines de Zouérate en ces temps inoubliables.
Naturellement les facteurs qui sont à l'origine de cette situation étaient visibles et personnes ne pouvaient les ignorés, quelque soit le prétexte avancé ou le motif exposé.
Il s'agissait d'ouvriers se trouvant dans les confins du désert et travaillant dans des conditions difficiles, et n'ayant aucun contact avec le monde extérieur qu'à travers le seul moyen de transport minier "le train minéralier" qui allait et revenait à Zouérate embarquant et débarquant le fer à Nouadhibou et qui servait en outre au transport des ouvriers allant en période de vacances ou de congés vers leurs lieux d'origine.
Ces travailleurs travaillaient dans des conditions difficiles bien que certaines conditions élémentaires existaient face à la pression de quelques intellectuels parmi le personnel de la Société qui défendaient en connaissance de cause leur "droit".
Devant de telles revendications des intellectuels, la Miferma ne pouvait pas fermer les yeux , il fallait satisfaire quelques unes de ces revendications afin d'éviter des arrêts de travail, susceptibles de perturber la production de la Société et les engagements auprès des partenaires européens.
Ces évènements dont la porté avait une signification particulière au regarde la réalité quotidienne des travailleurs, des ouvriers de la seconde classe (indigènes) au sein de la Miferma.
C'était par ailleurs, une véritable déchirure entre les ouvriers et les responsables syndicaux d’antan, ces derniers étaient les principaux complices de la société Miferma au détriment des intérêts des travailleurs de la société.
C'était aussi, une manière arbitraire de bafouer les intérêts de ouvriers et que ces derniers voulaient faire échouer par tous les moyens de bordn c 'est enfin, une façon de défendre leurs juste cause et de ne pas accepter d'être souillé dans leurs droits par quelques éléments au service de la Miferma.
LE FIASCO :
C'était un certain mercredi 29 mai 1968 aux environs de 17 heures 30 à l'ouest de l'école de la Cité Africain et aux environs du four, juste à l'extrémité sud-est des logements M4 et de l'ancienne polyclinique où devait se déroulèrent ces évènements sanglants et sur lequel fut (aujourd'hui) construit la nouvelle polyclinique de Zouérate, elle fut bâtie sur le lieu même du massacre odieux des ouvriers de la MIFERMA en ce jour du mercredi 29 mai 1968 et sous mes yeux car la première victime n'est autre que mon ami et frère Youba Ould TOUEIZIGUI.
Cette clinique bâtie sur le sang des martyrs a marqué à jamais l'esprit de chaque ouvrier, de chaque citoyen, de chaque enfant ayant vécu ces mouvements, de chaque maman ayant perdu un enfant ou d'un père lors de ces redoutables évènements innommables et furent beaucoup de victimes tant des ouvriers que des écoliers dont l'école était une cible appropriée car les ouvriers étaient barricadés aux alentours de l'école pour éviter les tirs des soldats, alors que les élèves effrayés ne savaient que faire et fuyaient aux dénotations des tirs, ce qui provoquât la panique générale aux environs des lieux de massacres tant du côté des ouvriers que des habitants et des élèves de l'école.
Ce mouvement générale de grève que menaient des centaines d'ouvriers et auquel, nous participions curieusement comme tant d'autres jeunes, proches parents, fils, frères ou cousins des ouvriers et qui furent impliqués dans cette aventure désastreuse.
J'étais accompagné de cet ami venu incognito non pas pour participer à ce mouvement de grève qui durait depuis presque une dizaine de jours, et nous étions au premier loge au moment où les premiers tirs de sommations se convertirent en tirs réels sur les manifestants, obligeant les uns et les autres à se dresser comme un homme n'ayant comme arme que des jets de pierres.
C'est à cet instant que le jeune Youba fut parmi les premières victimes de cette journée sanglante.
LE SCENARIO DES ÉVÉNEMENTS :
17 heures 10 les premiers éléments de para-commandos de l'armée nationale, appuyés par la gendarmerie et la police venus la veille et qui avaient ceinturés à l'intérieur de la cité ouvrière les quelques grévistes; les militaires furent surpris par la rapidité des actions spontanées menées par les éléments des ouvriers et leur présence sur les lieux qu'ils étaient censés contrôlés et que les ouvriers avaient prix d'assaut aux premières lueurs matinales.
En effet, les éléments des para-commandos avaient pour mission de maîtriser les grévistes dans leurs cantonnements, c'est-à-dire dans la cité minière afin d'éviter un affrontement direct avec les expatriés français qui étaient soumis depuis d'ailleurs le début du mouvement à un régime exceptionnel de survie. Il était cantonnés dans leurs villas, ne pouvant ni sortit, ni recevoir de la visite encore moins s'approvisionner en denrées alimentaires à l'économat de la place, sachant que les ouvriers grévistes les guettés pour les agressés.
Entre temps, la quasi-totalité des ouvriers avaient reçu du Comité de Crise l'ordre de quitter la cité à la veille de l'arrivée des renforts de l'armée nationale et de s'éparpiller dans la nature pour éviter d'être coincés ou d'être privés de tout mouvement, ou de sortir, ou pris de court par la présence spontanée des militaires et éventuellement la tournure des évènements.
17 heures 20 les Autorités civiles et militaires ainsi que les membres du Comité de Crise ainsi que les représentants de l'Union des Travailleurs de Mauritanie palabraient afin de trouver une issue à la situation qui s'enlisait davantage.
Au gré de l'humeur des uns ou des autres, sur-agité par l'ampleur de la situation, les nerfs tendus des militaires qui la veille l'un de leurs, un sous-officier blessé au bras suite aux jets de pierres, au moment des escarmouches survenus entre ouvriers et soldats sur le macadam menant aux Services Généraux et sur lequel, les grévistes avaient exposé deux ânes sous forme de guignols couverts de caricatures représentants les physionomies du secrétaire général de la section syndicale et le délégué des ouvriers à la solde de la Miferma.
Partout on pouvait contempler les éléments de la gendarmerie, de l'armée nationale et de la police armés jusqu'aux dents et prêts à la charge en face des centaines d'ouvriers, de manœuvres et même des populations de la cité venus apportées leur soutien aux grévistes, tout aussi prêts à la riposte et qui n'avaient que des pierres entre les mains ou quelques bâtons pour se défendre en cas de besoin.
Sur le plan conflictuel, les démarches butent toujours sur la mésentente entre les représentants de la Société, les Autorités et les représentants des ouvriers.
Ainsi les pourparlers n'aboutissaient pas à grand chose, les représentants de la société cherchaient une issue acceptable, les militaires voulaient en découdre avec les ouvriers qui à leurs yeux devraient cesser immédiatement la grève sans conditions préalables.
Ils demeuraient ainsi dans une impasse totale et aucun commentaire ne filtrait des rumeurs qui parvenaient aux ouvriers.
Le temps passe, en face les grévistes attendent sous une chaleur accablante l'issue de ce duel, de l'autre côté les militaires tantôt juchés sur leurs automitrailleuses, tantôt faisant les cents pas, surveillant les mouvements des grévistes d'un lieu à l'autre, respectant ainsi les consignes du Comité de Crise jouant la carte de "troubles fête".
A suivre...
jeudi 17 mars 2011
mon cv professionnel
OULD BITICHE Alioune
Tél. : 00 222 4678.57.32 – 33197905 – 22485732
Tél. : Bur. : 00 22 4525.68.77 – Fax : 00 222 4525.73.73
Sénat de Mauritanie.
République Islamique de Mauritanie.
E-mail : alioune_ould@yahoo.fr
Email : bitiche@gmail.com
Blog : bitiche.blogspot.com
Facebook : facebook.com/bitiche
Curriculum vitae |
Nom et Prénoms ² : OULD BITICHE Alioune
Date et lieu de naissance : 22 novembre 1950, Nouakchott, Mauritanie.
Situation matrimoniale : Marié, père de 4 garçons, et 2 filles
Etudes Primaires :
1959-1967 : A Nouakchott Ecole primaire du Ksar
Ecole Justice, Ecole Khayar (CEPE).
Etudes Secondaires :
Mars 1968 : Lycée National, Lycée Français (MIFERMA)
Zouerate, Mauritanie. (Diplôme de Brevet).
Juillet 1968: Guide Caravane étudiants français, venant en vacances scolaires et traversant la Mauritanie en véhicules MEHARIS pour aller au Sénégal.
1. CURSIS FORMATIONS :
1er Sept 1969: Formation au ‘‘Centre Mamadou TOURE’’ de Nouadhibou,
en qualité de matelot (Diplôme de matelot).
1971/1972 : Première marée à bord de bateaux italiens et Grecs.
2. PROFESSIONNELS :
1972 : Recruté en qualité de ‘’Télétypiste’’ par l’Administration de l’Office des Postes et télécommunications à Nouadhibou, au Bureau Central des Télécommunications (BCT). Chef de Quart.
(Receveur : Mr Sy Mamadou dit BOURGOGNE).
1973/1974 : Muté au Bureau Central de Transmission et de Réception Télégraphique, (B.C.T.R.) à Nouakchott/RP, comme Chef de Quart. (DG de l’OPT : Feu Abou Dialel GUISSET)
2 janvier 1975 : Recruté en qualité de Télétypiste-Radio, Chef de Quart au B.C.T. de l’Aéroport International de Nouakchott par l’Agence pour la Sécurité de la Navigation Aérienne en Afrique et à Madagascar, (A.S.E.C.N.A.), Représentation de Nouakchott, (Représentant en Mauritanie, Monsieur MOICHINE).
1er février 1976 : Affecté au sein de l’Administration Mauritanienne, chargée de l’administration du Sahara Occidental, en qualité de Chef de Centre des Transmissions à DAKHLA (Sahara Occidental).
(Commandant Aéroport : Monsieur Tourad Ould BRAHIM).
3. SOCIETE NATIONALE INDUSTRIELLE ET MINIERE (S.N.I.M. sem.) :
Sous plusieurs Directeurs-Délégués français :
(MM. GUITTARD, HERVOUET, SERRES)
Administrateurs, Directeurs-Généraux Mauritaniens :
(MM. Ismaël Ould AMAR, Ely Ould ALLAF, Ahmedou Ould ABDALLAH, Baba Ould SIDI ABDALLAH et Mohamed Saleck Ould HEYINE)
10 octobre 1976 : Recruté après sélection et examen en qualité de Télétypiste. Chef de Quart, Cat. Agent de maîtrise M1, (Chef Service Monsieur GUILLAUME). (Directeur Délégué du Complexe Minier du Nord (COMINOR) : Monsieur GUITTARD).
1er décembre 1976 : Envoyé à l’Ecole Nationale des Postes et Télécommunications à Nouakchott pour assurer la formation des stagiaires en télex, et suivre une formation en Radiotélégraphie. (Directeur Ecole : M. DIAWARA).
Janvier 1977 : Transféré à l’Ecole Multinationale des Télécommunications de RUFISQUE (Sénégal) pour complément formation. (Diplôme de Télégraphiste).
30 juillet 1978 : Obtention Diplôme de Radiotélégraphiste, affecté à la S.N .I.M de Zouerate au Centre des Télécommunications pour assurer le poste de Chef de Quart, promu M2. (Chef de Centre : M. PETIT).
1er Février 1980 : Nouvelle mutation à Nouadhibou pour des raisons de service, en qualité de Secrétaire de Direction au Service des Télécommunications (promu M.1) (Chef de Service : Monsieur MINIAC)
Janvier 1981 : Affectation au Département Economique et Financier en qualité de Secrétaire au Pool Secrétariats (Service Fournisseurs). (Chef Service : Monsieur Baba FALL)
1982/1984 : Muté au Centre d’Apprentissage et de Formation de Maîtrise (C.A.F.M.) en qualité de Secrétaire de Direction auprès du Chef de Centre, (poste M.2) (Monsieur Zeidane Ould H’MEIDA)
1984/1987 : Muté au Département des Achats, en qualité de Secrétaire à la Famille 9 au Service Achats. (Chef Service : M. Yahya Ould HADEMINE).
Janvier 1987 : Initiation en informatique à la suite de l’informatisation des structures administratives de la Société SNIM au Centre de Traitement Informatique (IBM).
25 MARS 1987 :
‘’Suite à la conjoncture de fer, la SNIM a décidé de procéder à un licenciement collectif au sein de ses structures techniques et administratives.’’
4. AUTRES ACTIVITES PROFESSIONNELLES :
Avril 1987 : Embauché à CIMENT DE MAURITANIE.
(P.D.G Mohamed Saleck Ould BOUH)
- muté à ARPECO sa, en qualité d’Assistant Technico-Administratif.
(D.G.: Mr Mohamed Abderrahmane Ould MOHAMED MOUSSA).
1989/1991 : Gérant d’un Etablissement privé de Commerce Général,
(Vente de meubles, et autres accessoires immobiliers).
(D.G.: Monsieur Didi Ould ZEIN).
1991/1992 : Embauché à ADRAR-Voyages, en qualité d’Agent Administratif.
(D.G.: Monsieur SIDI OULD KLEIB).
GROUPE FRANCO-MAURITANIENS
Sept 1995 : Recruté à la FRANCO-MAURITANIENNE DE PECHES, sa (Société expérimentale de CEPHALOPODES en Mauritanie) à Nouadhibou, qui n’a durée que 4 mois (Sept à Décembre 1995), dirigée par Monsieur Michel BERNET.
GROUPE MOHAMED ABDALLAHI OULD YAHA
Janvier 1997 : Recruté en qualité de secrétaire de Direction à la Société de Fabrication des Pots de Poulpe (SOFAPOP-Renaval)
Directeur : Mohamed Lemine Ould DELLAHI.
Président Directeur-Général: Mohamed Abdallahi Ould YAHA).
GROUPE ABASS
25 mars 1997 : Embauché par la Compagnie Mauritanienne des Equipements (COMEQUIP), en qualité d’informaticien, Chef Secrétariat, (D.G. Mohamed Hademine Ould ABASS)
FORMATION EN INFORMATION ET INTERNET
Formation en informatique auprès de Top-Technology à Nouakchott, sur subvention de la Compagnie Mauritanienne d’Equipements.
- Chargé de plusieurs missions à Nouadhibou.
- Chargé de l’étude, de l’évaluation et de projection d’appels d’offre, de la préparation, présentation et de l’évaluation des appels d’offre relatifs à l’adduction d’eau potable des villes d’Akjoujt et Atar, Lot n° 1 et du projet d’adduction d’eau (AEP) de 22 villages sur le fleuve Sénégal.
- Chargé du suivi des Dossiers d’Appels d’offre, auprès des Commissions de Marchés.
20 juillet 2000 :
Muté à MAURI-MEDIC, en qualité de gestionnaire pharmaceutique, ensuite à ‘’PRET-VOYAGE’’ en qualité d’Agent de Billetterie (D.G. Dr Hacen ABASS)
PARLEMENT MAURITANIEN
2 mai 2001 :
Recruté après sélection et examen au SENAT DE MAURITANIE, en qualité de Secrétaire de Direction, Président : DIENG Boubou Farba – Questeur : SEYID OULD ABDELLAHI, sénateur TEYARETT, Nouakchott.
03 août 2005 : PERIODE DE TRANSITION MILITAIRE
Maintenu au sein de l’administration chargée du Secrétariat Central de la Permanence du Conseil Militaire pour la Justice et la Démocratie.
Colonel Alioune Ould MOHAMED, Secrétaire permanent et membre du CMJD
MARS 2007 : INSTALLATION DU POUVOIR DEMOCRATIQUE
Mise en place du Sénat et de l’Assemblée nationale.
Président élu du Sénat : BA MAMADOU dit M’Baré.
A ce jour, toujours au Sénat.
5. INFORMATION COMPLEMENTAIRES – LOISIRS :
· Littéraire, romancier amateur.
· Auteur d’un essai :
‘’Les préludes d’une enfance’’,
Auteur de plusieurs articles sur la Transition en Mauritanie.
· Scrabble, pétanque et foot-ball,
· Echanges idées,
· Connaissances et voyages.
· Langues parlées et écrites : Français, Arabe,
· Autres langues parlées : Ouolof et Hassaniya.
Nouakchott, le 13/03/ 2011.
Un SOS sentimental
‘’Ma passion d’amour’’
1. Assis au bord de l’océan atlantique,
2. contemplant ses mystères halieutiques
3. je rêve à une créature inédite
4. d’elle dépend ma nouvelle conduite
5. son visage, Oh ! Combien fantasmatique
6. apparu à travers les vagues pathétiques
7. S’étirant les jambes sur la rive
8. comme une sirène en dérive
9. je la vois, sa peau noire ruisselante, marquée d’ébène
10. Comme une belle déesse, sortie du ‘’jardin d’Eden’’
11. je la contemple dans sa fierté
12. et je m’approche sans hésiter
13. – dis-moi, ma fée, qui es-tu … ? Ô AURA
14. – je pense te reconnaître, tu t’appelles CIRA
15. – non ! c’est impossible, est-ce ma passion d’amour ?
16. - dont j’ai tant glané à travers mes rêves son amour ?
17. n’est-ce pas un rêve, une idylle qui s’imprime ?
18. un sentiment, voire un bonheur qui s’exprime ?
19. au-delà, de l’imagination féconde
20. venue de mes racines profondes
21. oh ! je crois cet amour impossible
22. parce que dans un élan indescriptible
23. derrière ton rideau noir, en effet je rêve
24. d’envie de vivre à tes côtés ou je crève
25. Cira, je te vois, et je te contemple
26. mon âme, martyr accrochée à ton temple
27. C’est bien beau de vivre ces instants
28. d’espoirs et de méditations patents
29. fou de joie pour un amour sublime
30. je lutte en vain pour forcer ton estime
31. je suis ivre dans mon désert et sans complexe,
32. en cultivant l’idée de ma mystérieuse déesse
33. Oh, belle créature, écoute la voix soudaine
34. qui nous livre au destin qui nous entraîne
35. je nous vois assis, tout près du ruisseau spirituel
36. méditants, sous une pluie combien providentielle
37. les gouttes des vagues s’éclaboussent à tes pieds
38. je sombres dans mon ultime rêve sans me renier
39. sous cet océan excitant d’amour, je découvre ton visage
40. malgré les éclats voyants émanant de ton sillage
41. Et sur les crêtes de ces vagues fantastiques
42. je dessine avec amour ton corps magnifique
43. je m’accuse, je compose avec le destin
44. sûr de gagner un amour incertain
Je proclame fort cet acharnement qui se profile dans mes veines
Que je prolonge par l’imagination vers ma déesse proche et lointaine
Je n’hésite pas devant cet engouement sensuel
A me manifester comme un arc en ciel
Oui, ivre de bonheur, tes mots me caressent
Je jouis de ton humour avec tendresse
Tes sentiments s’amoncellent annonçant
Par chacune de tes lettres un espoir constant
Celui de construire mon village d’aisance
Dans ton cœur et avec bienveillance.
Ould Bitiche
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